samedi 15 novembre 2008

vendeuse au vieux campeur

la ville s arrête de manière nette des que l on s engage dans une rue qui monte vers les montagnes. des maisons puis plus aucun signe de vie humaine mais seulement la forêt sauvage effrayante, des sentiers qui longent des cascades, et une mysterieuse lumière rouge qui émane d'un bâtiment dans un sanctuaire abandonné. à 5 minutes de la ville.

marché 3 heures entre les troncs la mousse les corbeaux et les les ombres
je n arrivais plus à m'arrêter
comme si j'étais dans L'Absence, de P.Handke.

je n arrive pas du tout à expliquer pourquoi,ni à bien décrire ce que je ressens, mais la nature m'émeut plus profondément que jamais ici, me bouleverse même.

signé: randogirl










Aucun commentaire: